Notre histoire
French NFT en Bref
French NFT, est née de la volonté de donner la possibilté aux artistes français de pouvoir vivre de leurs passions. C’est avant tout une histoire de valeurs. La blockchain dispose de nombreuses caractéristiques en adéquation avec la vision d’un monde idéal que se font de nombreux artistes. Par exemple, l’idée de pouvoir se passer d’intermédiaires comme des banques, les Gafa ou l’état, pour retrouver liberté, autonomie et indépendance. Les NFT sont un moyen pour eux de vendre leurs réalisations sur la blockchain en toute légalité. Cependant, la technologie et l’accessibilité reste complexe, car elle nécessite de solides compétences. Nous apportons donc notre expertise aux artistes français, pour leur permettre d’accéder à ce nouveau marché.
Avec French NFT, les artistes n’ont pas à se soucier des complexités de la blockchain, comme de détenir de la cryptomonnaie, ce qui implique d’ouvrir un compte sur une plateforme d’échange et de savoir faire des transferts sur un portefeuille virtuel. On s’occupe de tout. Nous leurs offrons la possibilité de vendre plus vite et à un meilleur prix, tout en leur assurant des conseils et un suivi.
French NFT en détail
J’aurais voulu être un artiste
Le blues du businessman… Cette chanson colle parfaitement à la peau de Grégory Sarantidis, le fondateur de French NFT!
Dès son plus jeune âge, Grégory aime dessiner, il reproduit les dessins de Walt Disney, qu’il offre régulièrement à sa maman. En CE2, son maître d’école (clin d’œil à M. Papazoff), lui même artiste, lui fait découvrir l’impressionnisme au travers des nombreux musées dans lesquels il emmène toute la classe. Quelques mois plus tard, son grand-père lui offrira un bloc à dessins et un fusain et l’accompagnera dessiner les paysages, comme le port de Granville.
En grandissant, Grégory se tourne secrètement vers l’écriture, il aime la poésie et la musique et s’inspire des chansons d’Aznavour et de Goldman pour faire chavirer quelques cœurs en usant de ses talents d’orateur. L’école c’est plus trop son truc, Gresar (c’est son nom “d’artiste”) préfère chanter et danser avec ses amis de Danakil qu’il accompagne en répète et en concert, à travers toute la France. Ses professeurs ne le voient alors pas vers le bac littéraire auquel il aspire et l’orientent vers le commerce, plus propice, d’après eux, à son caractère de meneur et sa force de persuasion (pour être gentil…).
Quelques années plus tard, bac stt et école de commerce en poche, Grégory travaille dans l’assurance pendant 10 ans, mais ce n’est pas ce à quoi il aspire: le monde du salariat est trop petit pour lui, lui, qui voit les choses en grand et qui ne comprend pas ce monde trop restreint. Il prend son courage à deux mains et quitte son travail pour se lancer dans l’entrepreneuriat, plus propice à ses rêves d’indépendance et de liberté. GRESAR SAS est née.
La révélation
Grégory se lance dans le e-commerce, convaincu que sa détermination, son expérience et ses qualités lui permettront d’atteindre la liberté financière en moins de deux ans. De nombreuses idées sont lancées, testées, abandonnées. D’échec en échec, le doute commence à s’installer, mais Grégory sait au fond de lui que le travail finit toujours par payer et qu’il emmagasine de l’expérience. Avec son site de déco et de meubles pour enfant, qu’il a racheté et rénové, les premiers bénéfices arrivent quelques mois plus tard. Mais Grégory n’est pas certain de pouvoir en vivre tous les mois, et, surtout, il n’est pas heureux. Après une remise en question Grégory arrive à la conclusion qu’il ne pourra se sentir totalement épanoui que s’il parvient à aider les autres. Il envisage alors de partager ses connaissances à de futurs entrepreneurs par le biais de formations. C’est en s’inscrivant sur une plateforme d’hébergement de formation, que Grégory fait la rencontre de Matteo, un jeune youtubeur en devenir, qui allait changer sa vie et sa vision du monde. Matteo cherche alors une personne capable de lui rédiger la page de vente de sa formation dans les cryptomonnaies. Grégory décide de lui venir en aide et, avant le premier entretien, il étudie de fond en comble les cryptomonnaies et le monde de la blockchain. C’est alors que tout s’éclaire…
French NFT au service des artistes français
Grégory ne travaillera finalement pas avec Matteo mais il vient de découvrir un nouvel univers incroyable, celui de la blockchain. Dans cet univers qui peut paraitre obscure de prime abord, la réalité est tout autre. C’est en fait la transparence qui règne en maître puisque toutes les transactions y sont inscrites et consultables par tout le monde. Si à l’origine de la blockchain, le Bitcoin permettait d’effectuer une transaction de manière rapide, sécurisé et à moindre coût, tout en se passant des banques, la technologie permet aujourd’hui à de nombreuses industries de se développer de manière plus transparente. La traçabilité sans faille des différentes opérations offre un potentiel énorme et cela s’applique particulièrement bien au domaine artistique grâce aux NFT. Il n’en reste pas moins que pour être inscrite dans la blockchain une transaction doit être réalisée en cryptomonnaie et qu’il faut savoir choisir la bonne plateforme en fonction de ses attentes. C’est là que French NFT intervient.
Pour Grégory, “cela permet a tous types d’artistes de vendre une œuvre unique, matérielle ou non, authentique et infalsifiable. L’acheteur peut quand à lui la conserver pour son plaisir, l’offrir ou la revendre. Comme on peut prouver être l’acquéreur de quelque chose d’unique et qu’il s’agit là d’un nouveau marché sur lequel la majorité des acheteurs sont des investisseurs, les spéculations vont bon train et les prix explosent. C’est une opportunité à ne pas manquer pour nos artistes français!”